PROGRAMME ORIGINAL,
FRED PALLEM & LE SACRE DU TYMPAN PRÉSENTENT L’ODYSSÉE

ORIGINAL CREATION,
FRED PALLEM & LE SACRE DU TYMPAN INTRODUCE « L’ODYSSÉE »

Musicien.ne.s
Fred Pallem : direction artistique, basse, guitare
Vincent Taeger : batterie & percussions
Guillaume Magne : guitare
Sébastien Palis : clavinet, orgue
Rémi Sciuto : flûtes, sax baryton & sopranino
Christine Roch : sax tenor & clarinette basse
Sylvain Bardiau : trompette, bugle
Robinson Khoury : trombone
Anne Le Pape : violon
Aurélie Branger : violon
Séverine Morfin : alto
Michèle Pierre : violoncelle

Création lumières
Yossi Derhi

🇫🇷 Fred Pallem est un esthète.
Ce n’est pas parce que sa musique est pleine de fantaisie qu’elle est nécessairement foutraque, ni, sous prétexte qu’elle ne cache pas son hédonisme, qu’il faut la juger superficielle.
Tout au contraire.
La folie est chez lui domptée par la plume et l’exultation que provoque son écriture orchestrée précisément pour faire mouche. On ne doute pas que les partitions qu’il livre à ses musiciens soient limpides et qu’il sache, dès le premier accord, où son inspiration doit le mener.

Chaque note a un sens, chaque instrumentiste est une couleur sur la palette, chaque solo ne vaut que par l’élément dramatique qu’il apporte et chaque idée s’incarne dans une mise en son, avec une intention précise. En cela, le titre de ce disque n’est pas usurpé, tant on peut avoir le sentiment au fil de cette « Odyssée », que son auteur agit comme une sorte de démiurge qui, de la première à la dernière note, édifie ses propres mythologies et nous embarque, nous auditeurs ulysséens, dans les remous épiques de sa traversée sonore.

En Quentin Tarantino du son, transgressant résolument les limites définies par les censeurs du bon goût, il remet en lumière des pans entiers de musiques longtemps regardées de haut par les spécialistes — ces sous-genres, pas assez purs, pas assez artistiques, pas assez convenables, pour être cautionnés par ceux pour qui la pop ne saurait être que commerciale et le cross-over un dévoiement.

A rebours de ces clichés, Pallem a montré combien, au contraire, non seulement toute cette production « parallèle » avait ses génies, mais qu’en plus d’être profondément jubilatoire et évocatrice, elle était désormais ancrée dans nos mémoires par le biais du cinéma, de la télévision, de la radio et de la pub, jouant avec cet inconscient sonore pour réactiver nos émotions de cinéphiles ou nos émois d’enfants.

🇬🇧 This opus features an eleven piece string ensemble that enhances rather than outlines the host’s compositions. To put it directly, it sounds like an accomplishment. The strings, flowing from grace to grit, give him a new frame that he arranges in a kind of ‘reasonance’ to the rest of the crew. 

In a nutshell, this new album displays six compositions including two long suites (ten minutes each) split into two parts. Forty-four minutes of music, the benchmark vinyl format. Forty-four minutes of precise scores in overlapping layers forming a coherent and compact unit despite the obvious desire to broaden the horizons and the constant flirting between grimy funk, luscious jazz, contemporary classical music and pop. Jazz and more. A cinematic orchestral atmosphere highlighting the key signature of a composer for whom film scoring is the foundation of his unique style. 

There’s only a narrow line between ‘easy listening’ and ‘heavy listening’, a line that Fred Pallem crosses with panache, the same way he freed himself from the so-called existing borders erected by the usual academic sourpusses. “I wanted to express myself with more dissonant material, not always stroke the audience the right way…” Admittedly, yet the new repertoire never breaks the spell of underlying melodies, easily accessible on first listening yet revealing hidden complexities under close scrutiny. Nothing new for someone who has consistently refined his sound signature for the past two decades, a layout built like an oxymoron, both complex and free of complexes, asserting its lyricism and composite metrics. Now, though, at the height of his artistic maturity, he can leave more time for the melodies to settle in, for the rhythm section to find its pace without further need for explanation. 

Time, let’s get back to it, is a full-featured element in this story. You can’t just chose The Odyssey as a title and think you’ll get away with it. Just to say, this adventure might not quite qualify as Homeric but it sure has been a long and winding road since 2013. That’s the right approach when listening to it: a journey to the bottom of one’s guts, the story of a life course. “This record is the most personal I’ve made yet. These eight instrumentals are a picture of what my life has been these last years, coming close to death and finally giving life when I thought all hope was lost. It put me in different moods. There’s less dry wit probably.” 

Contact
Stéphane Mariot
Mobile : + 33 6 63 53 46 45
stephane@lesacre.com

LES AUTRES PROGRAMMES EN DIFFUSION :

PRESSE

 

Un compositeur essentiel à notre époque / Télérama

Un film en Technicolor pour nos oreilles / JazzMagazine

Une formidable puissance évocatrice / Rock & Folk

Merci pour la liberté offerte à tous les imaginaires / Rolling Stone

Une réussite de bout en bout  / Jazz News